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LES BONNES
-Jean Genet-
Les bonnes jouent à être. Elles tourbillonnent, usurpent les rôles et les personnalités, s’entremêlent. Elles fabriquent leur propre piège, échappatoire à une imagination bridée.
Elles s’identifient à leur maîtresse, Madame, jusqu’aux limites de la vie. Elles surjoueront jusqu’au sacrifice. Le travestissement devient alors la condition de l’aveu.
Les Bonnes, cérémonie entre les murs, met en mouvement trois personnages à triple- têtes, un homme invisible et des lieux fantômes.
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